Projection débat sur l'éco-habitat par Le Cinoch' à St Sulpice - 25/11/2011

La projection débat sur l'éco-habitat se tiendra à la salle polyvalente à 20h30 le 25 novembre.
Le débat sera initié par la projection en continue de deux documentaires de François HOOG:

UNE YOURTE DANS LA DRÔME
L’éco-site de Bellecombe a été fondé par Michel Marchand avec des associés en 2005 à la Motte-Chalancon (Drôme)
Son projet original repose sur l’accueil paysan en habitats nomades (yourte, tipi, roulotte, etc…) ainsi que sur la pratique de l’agriculture biologique et de la culture sur buttes (permaculture). L’autonomie économique dans un esprit de décroissance et d’écologie est ainsi alliée à l’ouverture aux autres, que ce soit des visiteurs curieux d’un autre mode de vie, des stagiaires, des classes vertes ou de simples vacanciers en quête d’apprentissages concrets ( construction, jardinage, etc...).
Ce documentaire rigoureux et personnel, est donc autant le portrait de Michel Marchand, ancien dessinateur de lotissements en rupture avec la modernité, que la présentation vivante d’un lieu de nature et d’harmonie. Mais c’est aussi une réflexion critique sur le mode de vie moderne et ses aberrations.

"Un film percutant et sensible..." (Biocontact)
"Ce film est une réponse à celles et ceux qui veulent comprendre la démarche de décroissance..." (La Maison Ecologique)
"Une ballade amicale qui nous fait découvrir une sagesse et une démarche de vie..." (Silence)

CARAPA, ÉCO-SITE DES CÉVENNES
C'est après une longue expérience communautaire à Paris puis un périple solitaire en Guyane, qu'Olivier Rognon, militant écologiste, fonde l'éco-site de Carapa, près d'Alès, sur les terres du Centre Ecologique Européen.
Carapa est donc un hameau ou l'on construit sa maison avec des matériaux écologiques locaux, où l'on préfère l'autonomie énergétique et le végétarisme, et où l'on refuse l'élevage...
Ce film est à la fois la chronique d'une démarche d'écologie radicale et le portrait croisé de trois individualités qui ont choisi une vie plus sobre et plus proche de la nature : Olivier, biensûr, mais aussi sa voisine, Fabienne Gaitté, ainsi que Jacques Vecker, le propriétaire qui les a accueilli et partage leurs valeurs...
A travers eux et leur choix de vie, fondé sur le refus du superflu, de l'esprit de consommation, la relativisation de la propriété, mais aussi la volonté d'utiliser les technologies à des fins le plus possible écologiques, ce sont les certitudes de la civilisation moderne qui sont remises en cause...